Après le succès du premier épisode, l’annonce officiellement de la mise en chantier d’une suite n’étonna personne. La mise en ligne gratuite sur youtube du moyen métrage « linéage » (qui sert de prologue au deuxième jeu) reçut un accueil mitigé, même si l’argument « gratuit » plut à beaucoup. Aujourd’hui, c’est une bande dessinée au format franco-belge dont je vais vous parler.
Elle est centrée sur les péripéties de Desmond Miles, le jeune homme dont la mémoire génétique est mise à contribution pour nous faire revivre les exploits de ses ancêtres assassins comme si on y était. Cette histoire fait la transition entre les deux jeux, mais elle éclaire aussi les quelques zones d’ombre sur la situation du personnage. On découvre enfin comment il s’est retrouvé prisonnier dans les locaux d’Abstergo, et les différentes épreuves qui l’ont amené à être synchronisé avec le fier Altaïr qui vécut durant les croisades.
L’intrigue reprendre quelques scènes clés du premier jeu, mais également l’introduction du second, tout en modifiant légèrement les événements. Il semble qu’il n’y ait pas eu de contact direct entre le scénariste de la bd et celui du jeu, ce qui peut provoquer une certaine confusion.
Ainsi, nombres d'éléments ne se déroulent pas du tout comme dans les jeux, on pense en particulier à l'arrivée chez les néo-assassins et à la vision très différente du patient 16.
Néanmoins, l’ensemble reste dans l’esprit de l’univers créé, et permet de prolonger un peu plus l’expérience. Certains personnages mystérieux sont abordés de façon plus directe (comme le sujet n°16), l’action est au rendez vous, et les dessins sont plutôt réussis, même si on regrettera une inconsistance dans les visages des personnages.
Sans être un apport crucial, la bande dessinée « Assassin’s Creed » est un bonus que les fans de la saga sauront apprécier.
Sans être un apport crucial, la bande dessinée « Assassin’s Creed » est un bonus que les fans de la saga sauront apprécier.
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