Voilà un jeu qui aura fait acheter une Xbox360 à beaucoup de monde. Exclusif à la console de Microsoft (même si un portage peu convaincant est sorti sur la Wii de nintendo 3 ans plus tard), « Dead Rising » est un jeu que tout fan de zombies se doit d’avoir. Le deuxième épisode, annoncé pour le 3 septembre 2010, sortira sur pc et playstation 3, personne n’aura donc plus d’excuse pour ne pas se jeter dessus.
Loin d’être un survival horror auquel il faut absolument jouer dans le noir, « Dead Rising » est un beat’em’all dans lequel le héros affronte des centaines et des centaines de morts vivants. Se déroulant entièrement dans un mall, ces centres commerciaux américains totalement démesurés, le jeu doit certainement beaucoup au « Dawn of The Dead » de Romero (qu'un chroniqueur français de ce jeu traite de "navet" et de "série Z", des termes qui ont dû faire rire toute personne ayant vu le film en question), dont l’essentiel de l’histoire se déroulait dans un de ces supermarchés. Mais là où le film mettait en exergue l’individualisme de l’être humain et son incapacité à s’entendre avec son prochain, « Dead Rising » est un pur divertissement de série B.
Frank West, journaliste, se rend dans la ville de Willamette pour couvrir un reportage. Les gens se comportent violemment, on pense d’abord à une émeute. Se faisant déposer sur le toit du mall, il demande au pilote de l’hélicoptère qui l’a amené de venir le chercher dans trois jours. Un détail qui n’est pas anodin, puisque le jeu est soumis à un simili temps réel. La partie ne dure pas réellement 72 heures, mais les événements de l’intrigue doivent être joués à un rythme particulier. Si le héros ne parvient pas à remplir une mission avant une heure précise, il n’a plus la possibilité de suivre l’intrigue et est condamné à errer dans le centre commercial comme une âme en peine. Suivre l’intrigue permet de débloquer un quatrième jour qui conduit à la vraie fin du jeu.
Il y a en effet plusieurs façons de terminer le récit, en fonction de nos choix, du nombre de personnes sauvées… les possibilités ne manquent pas, et « Dead Rising » combine presque plusieurs jeux en un. Outre l’intrigue principal, on peut se contenter de massacrer les zombies, et il y a de quoi faire. Chaque écran comporte des centaines de créatures, sans qu’on constate aucun ralentissement. Tout ou presque peut être utilisé comme arme : banc, rouge à lèvre géant, poêle à frire, katana, pommeau de douche, mannequin, boomerang, tondeuse à gazon (qui n’a jamais rêvé de faire comme dans Braindead ?)… le lieu où se déroule l’action est réellement mis en valeur par cette profusion d’armes. Le genre du bac à sable a trouvé un fier représentant.
Composé de quatre grandes zones, d’un jardin central et d’un sous sol tortueux, le centre commercial s’explore avec plaisir et multiplie les interactions. Mais si les zombies, lents mais en surnombre, sont dangereux, les humains le sont encore plus, comme chez Romero. On croisera en effet des psychopathes, visiteurs du mall ayant perdu la tête face à l’explosion de violence créée par les zombies. Chacun a son histoire, sa personnalité, son arme, et chaque rencontre est d’un grand guignol aussi assumé qu’efficace. Ces affrontements ne sont pas toujours faciles, et sont même un peu frustrants en début de jeu.
En effet, il ne faut pas attaquer « Dead Rising » en espérant s’amuser immédiatement. Frank West a deux mains gauches lorsqu’il se lance dans l’aventure, et il faudra patiemment augmenter son niveau d’expérience pour apprendre de nouvelles techniques de combat et voir sa barre d’énergie augmenter. Cet apprentissage permet de se familiariser avec les lieux et les personnages pour ensuite aborder le jeu plus sereinement et profiter pleinement de son côté fun. Le taux de rejouabilité est d’ailleurs énorme, ne serait-ce que pour connaître les différentes fins ou pour obtenir les succès proposés.
Bien plus construit qu’il le laissait présager, drôle, violent, inventif, « Dead Rising » est un jeu qui en donnera largement pour leur argent à ses détenteurs.
Loin d’être un survival horror auquel il faut absolument jouer dans le noir, « Dead Rising » est un beat’em’all dans lequel le héros affronte des centaines et des centaines de morts vivants. Se déroulant entièrement dans un mall, ces centres commerciaux américains totalement démesurés, le jeu doit certainement beaucoup au « Dawn of The Dead » de Romero (qu'un chroniqueur français de ce jeu traite de "navet" et de "série Z", des termes qui ont dû faire rire toute personne ayant vu le film en question), dont l’essentiel de l’histoire se déroulait dans un de ces supermarchés. Mais là où le film mettait en exergue l’individualisme de l’être humain et son incapacité à s’entendre avec son prochain, « Dead Rising » est un pur divertissement de série B.
Frank West, journaliste, se rend dans la ville de Willamette pour couvrir un reportage. Les gens se comportent violemment, on pense d’abord à une émeute. Se faisant déposer sur le toit du mall, il demande au pilote de l’hélicoptère qui l’a amené de venir le chercher dans trois jours. Un détail qui n’est pas anodin, puisque le jeu est soumis à un simili temps réel. La partie ne dure pas réellement 72 heures, mais les événements de l’intrigue doivent être joués à un rythme particulier. Si le héros ne parvient pas à remplir une mission avant une heure précise, il n’a plus la possibilité de suivre l’intrigue et est condamné à errer dans le centre commercial comme une âme en peine. Suivre l’intrigue permet de débloquer un quatrième jour qui conduit à la vraie fin du jeu.
Il y a en effet plusieurs façons de terminer le récit, en fonction de nos choix, du nombre de personnes sauvées… les possibilités ne manquent pas, et « Dead Rising » combine presque plusieurs jeux en un. Outre l’intrigue principal, on peut se contenter de massacrer les zombies, et il y a de quoi faire. Chaque écran comporte des centaines de créatures, sans qu’on constate aucun ralentissement. Tout ou presque peut être utilisé comme arme : banc, rouge à lèvre géant, poêle à frire, katana, pommeau de douche, mannequin, boomerang, tondeuse à gazon (qui n’a jamais rêvé de faire comme dans Braindead ?)… le lieu où se déroule l’action est réellement mis en valeur par cette profusion d’armes. Le genre du bac à sable a trouvé un fier représentant.
Composé de quatre grandes zones, d’un jardin central et d’un sous sol tortueux, le centre commercial s’explore avec plaisir et multiplie les interactions. Mais si les zombies, lents mais en surnombre, sont dangereux, les humains le sont encore plus, comme chez Romero. On croisera en effet des psychopathes, visiteurs du mall ayant perdu la tête face à l’explosion de violence créée par les zombies. Chacun a son histoire, sa personnalité, son arme, et chaque rencontre est d’un grand guignol aussi assumé qu’efficace. Ces affrontements ne sont pas toujours faciles, et sont même un peu frustrants en début de jeu.
En effet, il ne faut pas attaquer « Dead Rising » en espérant s’amuser immédiatement. Frank West a deux mains gauches lorsqu’il se lance dans l’aventure, et il faudra patiemment augmenter son niveau d’expérience pour apprendre de nouvelles techniques de combat et voir sa barre d’énergie augmenter. Cet apprentissage permet de se familiariser avec les lieux et les personnages pour ensuite aborder le jeu plus sereinement et profiter pleinement de son côté fun. Le taux de rejouabilité est d’ailleurs énorme, ne serait-ce que pour connaître les différentes fins ou pour obtenir les succès proposés.
Bien plus construit qu’il le laissait présager, drôle, violent, inventif, « Dead Rising » est un jeu qui en donnera largement pour leur argent à ses détenteurs.
Aaaaaaaah Dead Rising !!! Quatre ans déjà se sont écoulés depuis la sortie du 1er épisode de ce qui est pour moi l'un des meilleurs jeux de cette génération de consoles.
RépondreSupprimerAlors que l'on s'attendait à un "simple" beat'em all où l'on pourrait massacrer du zombie avec tout ce qui nous tombe sous la main, Capcom nous a encore au contraire gratiné d'un pur jeu pour gamer, un jeu difficile, exigeant et à la rejouabilité énorme. Le système mis en place, qui en a frustré plus d'un, basé sur le temps et le sauvetage des survivants est ce qui fait toute l'originalité et la force du titre. Car peu importe la réussite ou non des missions, le jeu se poursuit malgré tout jusqu'au bout du 3ème jour. Du coup, Dead Rising s'adresse à tout type de joueur. Celui qui est juste là pour le fun et tuer des zombies jusqu'à plus soif, ou au contraire celui qui se la joue hardcore gamer et qui va chercher à sauver tous les survivants, objectif rendu possible par le fait qu'on peut recommencer une partie avec les points d'expérience acquis dans sa précédente partie.
De plus, Capcom a pensé à mettre en place un background relativement convaincant avec d'inoubliables rencontres contre les psychopates, qui font office de boss, un personnage principal charismatique et une histoire qui tient bien la route.
Dead Rising est un jeu incroyablement maîtrisé comme on aimerait en avoir plus souvent. Bref, un grand jeu tout simplement.
C'est le rêve devenu réalité des amateurs de morts vivants. Sa construction audacieuse est en effet un atout qui a échappé à beaucoup de joueurs qui se définissent comme gamers, en oppositions aux casual gamers (les mêmes qui ont reproché la trop grande difficulté de "Silent Hill Homecoming"....).
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup ce côté sans concession, pour vraiment en profiter à fond, il faut s'investir. Comme tu le précises, on peut s'amuser en se contentant de trucider par centaine les zombies, mais il faut un réel investissement pour jouir de toutes les possibilités du jeu.
D'ailleurs je trouve qu'il s'agit d'une licence franchement snobée par la critique, car au delà des défauts, voilà des jeux qui ont une réelle identité, et une approche unique de l'action, quand d'autres licences bien moins ambitieuses sont portées aux nues. Et ce deuxième exemplaire que j'attends toujours!!!
Alors là, je ne peux être que d'accord avec ton dernier paragraphe. Aujourd'hui, un gameplay facile d'accès et une réalisation spectaculaire très typé blockbuster Hollywoodien suffisent à porter aux nues un jeu même banal au détriment d'autres titres plus "complexes" et moins accessibles (eh oui pas de scripts et de QTE toutes les 30 secondes ^^) comme peut l'être Dead Rising.
RépondreSupprimerEt puis cette démarcation Gamer/casual m'a toujours fait rire. Quel que soit le public visé, un jeu vidéo reste un jeu vidéo. Mais bon, une grande majorité des joueurs qui s'auto-proclament gamers sont plein de préjugés et ne supportent guère de voir le jeu vidéo s'ouvrir à tous types de public.
Pas encore reçu ton exemplaire de Dead Rising 2 ? Je compatis avec toi. Et dire que moi j'avance tranquillou pendant ce temps :D ...
Merci, ça me va droit au coeur ^^. D'ailleurs, ce deuxième opus, tu le situes au même niveau que le un?
RépondreSupprimerMoi aussi je trouve risible cette distinction, qui témoigne d'une immaturité qui malheureusement définit aux yeux de ceux qui ne jouent pas l'ensemble des amateurs de jeux vidéos.
Personnellement, j'attache beaucoup d'importance à la narration dans un jeu, et de ce point de vue, dead rising frappe fort, tout en offrant un fun indéniable. Je me prends d'ailleurs encore souvent à rejour au 1 avec le même plaisir.
Que dire sans te spoiler ou quoi que que ce soit ? Que Dead Rising 2 a un "petit" défaut c'est celui d'être une suite ! Forcément, l'effet de surprise du 1er n'est plus là. Ce 2ème volet est par contre très (trop ?) fidèle au 1er et ne plaira donc pas à ceux qui n'avaient déjà pas apprécié le 1er épisode. En revanche, les fans eux seront aux anges.
RépondreSupprimerPerso, je l'aime beaucoup mais j'espère néanmoins que si un Dead Rising 3 doit voir le jour qu'il apportera plus un peu plus de sang neuf et qu'il optimisera les loadings ^^
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